Traité sur le romarin? (vedi Nota).
Cfr. F. Fery-Hue, Le romarin et ses propriétés. Un traité anonyme faussement attribué à Aldebrandin de Sienne, «Romania», CXV (1997), pp. 138-192; l’A. censisce le versioni italiane, francesi, latine e tedesche del trattato, per giungere alla conclusione che (p. 163): «le traité sur le romarin est une petite oeuvre anonyme, à laquelle elle est fortement tentée d’attribuer une origine vernaculaire [...] peut-être italienne» [confutando sia la falsa attribuzione ad Aldobrandino da Siena, sia quella ad Arnaldo di Villanova (per cui cfr. nota a %T8A%)].
La redazione a testo è la più antica, e la supposizione che il trattato abbia origine italiana è così motivata dalla Fery-Hue: «quant à la langue d’origine du traité sur le romarin, elle pourrait ête, si l’on considère le nombre, la qualité et la variété des témoins italiens actuellement connus, l’italien» (cfr. Fery-Hue, Le romarin, p. 140).